Notre père qui êtes odieux
Que ton nom est éloigné!
Que ton règne peine!
Que ta volonté est vaine
Sur la terre, loin du ciel.
Donne-nous aujourd’hui la faim de ces jours
Pardonne-toi tes offenses,
Comme nous te pardonnons aussi, toi qui nous a laissé
Et ne nous soumets plus à la tentation,
De croire en ta flamme.
Car c'est pour toi que l'on se soumet, au règne, aux puissances de l'espoir, depuis des siècles et des siècles...
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